LES BLESSURES
Chaque personnage possède trois niveaux de santé qui représentent son état général: Légèrement blessé, sérieusement blessé, gravement blessé.
Cet état évoluera en fonction des blessures bien distinctes que recevra le personnage et que l'on pourra ainsi traiter séparément. C'est en soignant des blessures bien distinctes que l'on fera évoluer l'état général.
J'ai considérablement augmenté la résistance des vampires et la difficulté à la tuer. Je prends beaucoup plus en compte qu'ils n'ont pas besoin que leurs organes vitaux fonctionnent, et un vampire peut désormais encaisser plusieurs coups de couteaux ou être criblé de balles sans même considérer que cela constitue des blessures.
Plus que la santé, c'est l'intégrité physique du vampire qui doit être atteinte pour que les blessures soient réellement graves. Tout ce qui détruit la mécanique du corps, ses tissus extérieurs, et touche à la tête, est capable de blesser réellement un vampire. Vos pires ennemis restent bien sur le feu et la lumière du soleil qui en plus de causer des blessures, rendent celles-ci très difficile à soigner.
LA MORT
Après l'état gravement blessé, c'est la mort. Lorsque l'enveloppe corporelle du vampire est suffisamment endommagée, elle ne peut plus retenir son essence vampirique qui est expulsée; le vampire est détruit et seuls les plus puissants seront capables d'un jour se réincarner (dans le doute, les vampires évitent de se détruire de cette manière).
La Mort Ultime, cela n'a pas changé, ne peut-être causé que par une Diablerie effectuée par un autre vampire.
LA TORPEUR
J'ai complètement écarté l'idée de la torpeur causée par un excès de dégâts. La torpeur ne survient que par manque de sang, par un pieu dans le coeur, ou volontairement.
LA GUERISON
Guérir ses blessures coûte de la vitae pour un vampire. Plus les blessures subies sont importantes, plus le coût en vitae est élevé. Par exemple, faire repousser un bras amputé coûtera bien plus de vitae que de refermer quelques plaies. D'ailleurs, certaines blessures peuvent nécessiter la dépenser de vitae sur une période plus longues, notamment les blessures causées par le feu, ou pire, les rayons du soleil.